Interview exclusive - Nicolas Habert

Le Crédit Mutuel Midi-Atlantique est partenaire principal de la seconde édition du Festival de Toulouse et adhérent d'Aïda depuis de nombreuses années. Son Président, Nicolas Habert, revient dans cette interview sur l'origine de cet engagement et sur sa vision du mécénat.

Monsieur Habert, le Crédit Mutuel est Partenaire Principal de la seconde édition du Festival de Toulouse, pourriez-vous nous présenter l’origine de cet engagement ?

Le Crédit Mutuel donne le LA en soutenant depuis plus de 20 ans la scène musicale française en tant que partenaire de concerts, de festivals ou encore d'associations. C'est donc tout naturellement que nous nous sommes engagés comme partenaire du Festival de Toulouse.

Quel sera l’usage de ce partenariat pour votre structure ? Comment valoriser votre soutien en faveur de la musique auprès de vos clients et/ou collaborateurs ?

La musique permet la rencontre, la curiosité, l'échange et l'ouverture à l'autre. Le Festival de Toulouse a été construit sur ces valeurs qui sont les nôtres. Il offre à nos clients, à nos administrateurs et à nos collaborateurs des concerts d'une grande générosité dans des lieux variés qu'ils découvrent le plus souvent. Une occasion de vivre ensemble une expérience dont on se souvient longtemps. 
 

Quels sont les grands axes de la politique de mécénat/partenariat du Crédit Mutuel ?

Notre volonté est d'agir concrètement en faveur de l'accès pour tous à la culture. Cela se manifeste au travers de notre soutien inconditionnel au monde de la musique, et à toutes les musiques. Sur notre territoire, nous multiplions les initiatives pour donner vie à nos engagements. Parce qu'elle est source d'émotions partagées, parce qu'elle offre une belle définition du vivre ensemble, la musique est la meilleure ambassadrice du monde auquel nous aspirons : solidaire et ouvert.
 

Le Crédit Mutuel est adhérent d’Aïda depuis de nombreuses années, quel regard portez-vous sur l’action de cette association ?

Je suis admiratif de cette association. À partir du pôle d'excellence que constitue l'Opéra national et l'Orchestre du Capitole, Aïda sait trouver des voies nouvelles pour diffuser la grande musique : concerts en petites formations, spectacles itinérants, interventions dans les écoles, rencontres avec les musiciens… Avec le Festival de Toulouse, Aïda élargit encore son spectre musical en proposant du jazz, de la pop ou du blues. Ouverture et éclectisme avec toujours une très grande exigence !

Avez-vous un souvenir musical personnel à nous partager (un artiste, un concert…) ?

Le concert de Roberto Alagna au Théâtre du Capitole dans la première semaine de ce festival a été magique. Entre airs d'opéra et chansons napolitaines, ce ténor exceptionnel a envouté la salle et conquis le public par son humour et sa simplicité. Une soirée exceptionnelle où l'on a vu le directeur du Festival, Julien Martineau, rejoindre Roberto Alagna sur scène pour l'accompagner au son de sa mandoline sur un air de La Flûte enchantée de Mozart.
 

Un mot pour terminer ?

Un grand merci à la Mairie de Toulouse et à l'association Aïda qui ont permis la réalisation de cet événement qui manquait à notre ville à cette période de l'année : longue vie au Festival de Toulouse !

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Un grand merci à Nicolas Habert pour cet échange et ses réponses.